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By Scandiglobalnews

50 chevaux morts retrouvés au Danemark - ils serviront à la fabrication du biodiesel par recyclage

La puissance prend un tout nouveau sens, car les 50 chevaux morts retrouvés hier au Danemark doivent être utilisés. Notamment pour la fabrication du biodiesel et du biocarburant.


Rien n'est perdu, une sorte de don d'organe pour sauver des vies.

La police du Jutland central et occidental, la municipalité de Viborg et l'administration vétérinaire et alimentaire danoise ont demandé à la société DAKA de récupérer et de traiter les restes.


"Ce n'est pas tous les jours que nous accueillons autant de chevaux, mais nous constatons à intervalles réguliers que les autorités nous demandent de récupérer un plus grand nombre d'animaux. Cela s'est produit, par exemple, lorsque l'infection s'est propagée", explique Søren Mohr Jensen, responsable de la communication de DAKA.


Les chevaux passent par le transformateur de l'usine de l'entreprise à Randers pour garantir que l'infection ne se propage pas avant d'être recyclés.


La sécurité n'est pas affectée par la durée de la mort des chevaux, mais elle affecte la quantité de produits recyclables qu'ils peuvent extraire des chevaux, explique Søren Mohr Jensen, qui ajoute que les chevaux doivent également être recyclés pour fabriquer de la farine de viande et d'os.


"La fraîcheur compte beaucoup. Il détermine combien nous pouvons gagner à partir de nos produits recyclés. Il y a tout simplement plus à gagner d’un nouvel animal".

Rien n'est perdu, une sorte de don d'organe pour sauver des vies.


Dans un haras au nord de Viborg au Danemark, 50 chevaux morts ont été retrouvés enterrés rapportait le tabloïd Ekstrabladet hier.


Le journal fait référence à un communiqué de presse de la police du Jutland.

La police et l'armée ont participé aux fouilles. L'opération a été lancée en raison de violations présumées de la loi sur la protection des animaux, notamment pour déterminer si des carcasses d'animaux avaient été enterrées sans autorisation.


" Une des machines des Forces armées a déterré de nombreux cadavres de chevaux, éparpillés dans l'herbe tout autour.


"C'est une odeur si douce mais de moisi", explique le photographe de Nyhetsbyrån Ritzau (agence de presse danoise).


Il y a déjà 35 soupçons criminels contre le haras.


Les habitants des environs immédiats ont réagi et ont entre autres entamé des manifestations devant le haras en question.

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